Autodéfense sanitaire en temps de pandémie

La pandémie de COVID-19 n’est pas terminée.

La majorité de la population a simplement décidé de faire comme si ce n’était plus un problème, en prétextant qu’il y avait des vaccins maintenant, en feignant d’ignorer l’existence des répercussions à long terme, en se rassurant que ça ne concerne que les personnes fragiles (et qu’après tout les fragiles peuvent bien crever), bref en se vautrant dans le déni et l’eugénisme. La désinformation règne tellement qu’il est même difficile de trouver des médecins avec les yeux en face des trous.

La réalité est que le COVID-19 est toujours un danger majeur, que les retombées d’infections répétées sont, de ce que l’on sait à l’heure actuelle, extrêmement dangereuses. De nombreuses personnes jeunes et précédemment en excellente santé font “mystérieusement” des crises cardiaques. Il n’y a pas besoin d’être à risque pour potentiellement subir des conséquences graves à la suite d’une infection !

Quand bien même, protéger les plus vulnérables devrait être un motif suffisant pour continuer à prendre des précautions élémentaires…

Je comprends aisément que la plupart des gens n’aient pas envie de flinguer leur vie sociale en continuant à s’isoler ; l’isolation est en soi un danger, je le concède. Cependant, continuer de masquer dans les pharmacies, les cabinets médicaux, et les transports où l’on va statistiquement forcément tôt ou tard côtoyer quelqu’un de malade, ce n’est quand même pas la mer à boire. Je pense que même si l’on limitait le fait de masquer aux périodes symptômatiques, c’est-à-dire quand on se sent un peu plus fatigué·e, que l’on tousse, que l’on se mouche ou autre, cela serait déjà un pas en avant.

Alors comment continuer à vivre en temps de pandémie, alors que quasiment tout le monde a cessé de porter un masque ? Voici quelques suggestions. Ce n’est pas exhaustif bien sûr, n’hésitez pas à laisser en commentaires vos propres observations.

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